Ukraine et poids lourds a paris...

qu'est ce qui se passe en Ukraine? on parle d'un emoisonement de Ushenko.. (voir une arme bacteriologique) ? J'ai vu ca a la tele....

(je regarde les infos la a la tele... arf.. apparement les camions vont bloquer les autopistes vers Paris demain??
Les poids lourds planifient bloquer Paris demain (a cause de l'augmentation du prix du petrole , pays de l'est.. bref.. tout quoi!! ).
oh oh .. ca sera le bordel demain a Paris....

La guerre des deux Ukraines

Alexandre Adler
[24 novembre 2004]



Si les récents événements qui agitent l'Ukraine, et bientôt la Russie, sont simples à comprendre – une cassure en deux de l'opinion publique du pays et un coup de pouce frauduleux donné tout à la fois par le gouvernement sortant, les services de sécurité et le pouvoir russe depuis Moscou en faveur de l'un des camps en présence – en revanche, dès que l'on se penche sur les forces profondes à l'oeuvre dans la crise ukrainienne, tout devient en réalité très compliqué.


Et tout d'abord l'identité ukrainienne elle-même. Car l'Ukraine n'existe pas réellement. Ce vocable récent qui signifie «périphérie» a été préféré tant par les nationalistes russes extrêmes que par leurs opposants ukrainiens, non moins nationalistes extrêmes, à celui plus traditionnel et plus vrai de «petite Russie». Cet ancien vocable avait en effet l'inconvénient aux yeux de tous de rappeler que l'histoire de la Russie avait commencé à Kiev et non plus au Nord, mais aussi que l'identité ukrainienne, légèrement distincte sur le plan linguistique, était une variante de l'identité russe et non véritablement une nationalité constituée qui s'interposerait durablement entre Russie, Pologne et Slaves du Sud. Aujourd'hui encore, la langue russe est infiniment plus répandue dans la vie de tous les jours, notamment en ville, que la langue ukrainienne parlée essentiellement dans les campagnes du centre.


Mais point n'est besoin d'une histoire ou d'une géographie stable s'il y a volonté de s'identifier à un projet historique et culturel. L'Irlande, où l'anglais est tout autant la langue véhiculaire que l'est le russe en Ukraine, n'en a pas moins une volonté très claire d'exister en dehors de l'Angleterre sur tous les plans, malgré sa totale proximité culturelle et son appartenance pluriséculaire au Royaume-Uni ; un tel sentiment se retrouve dans l'Ouest galicien de l'Ukraine, mais de moins en moins à mesure que l'on avance vers l'Est et le Sud.


Ce qui unit paradoxalement l'Ukraine actuelle en tant que semi-État, c'est l'existence de deux rêves, en réalité incompatibles, mais qui sont arrivés de manière cahotante à coexister sur un même espace également désiré. Le premier rêve est celui des Ukrainiens catholiques uniates de culture européenne autrefois proallemande, par nostalgie des Hasbourg, aujourd'hui tournés vers la nouvelle Pologne ou les proches cousins slovaques. Il consiste à rejoindre l'Europe par étapes, en y entraînant toutes les autres Républiques dissidentes de la CEI, notamment la Moldavie roumaine et la Géorgie irrédente. Mais comme les Ukrainiens occidentaux sont des patriotes de la plus grande Ukraine, qu'ils voudraient même étendre au-delà de ses déjà très amples frontières jusqu'au territoire de Stavropol, ils ont préféré accepter de demeurer dans l'État actuel, même dominés par des anciens communistes plutôt russophiles, alors qu'ils auraient pu, dans l'anarchie de 1992-1993, opérer une séparation à l'amiable sur le modèle tchécoslovaque en retrouvant l'ancienne frontière des empires russe et austro-hongrois d'avant 1914.


Las le rêve de la grande Ukraine était trop fort. Il est vrai que les communistes traditionnels, arc-boutés sur la vieille région industrielle totalement russifiée du Donbass à l'Est, ne sont pas moins ambitieux dans leur désir de maintenir ensemble toutes les terres ukrainiennes jusqu'à Lvov et à la frontière moldave et roumaine. Même russophiles en effet, ces Ukrainiens de l'Est n'en ont pas moins toujours ambitionné de jouer un rôle à leur mesure dans la grande Union soviétique ; et eux aussi auraient vécu une partition du territoire ukrainien comme une amputation gravissime. Avec deux rêves incompatibles et une seule scène pour les déployer, l'Ukraine était sauve.


Jusqu'à présent. Il suffisait pour cela qu'émergeât au centre du pays, autour de la capitale historique, Kiev, un centre politique cette fois-ci qui sut trouver une formule de compromis entre affirmation de l'identité ukrainienne et maintien de relations privilégiées avec Moscou. Ce centre kiévien a trouvé de multiples moyens d'expression qui reviennent tous à la même formule de compromis sur le plan religieux, l'instauration d'un patriarcat autocéphale indépendant de Moscou, mais tout de même orthodoxe et sans rapport avec les uniates de l'Ouest, fidèles à Rome. Sur le plan idéologique, une affirmation assez sensible de nationalisme culturel mais aussi de conservatisme économique : les débris du système industriel soviétique sont bien plus nombreux en Ukraine qu'en Russie. Sur le plan politique proprement dit, l'émergence d'une coalition assez informe d'anciens bureaucrates du parti unique, de managers industriels d'assez grand bon sens et de quelques réformateurs, tous unis cependant par la volonté de maintenir un centre de décision indépendant de la Russie du Nord. Le président sortant, Leonid Koutchma, était le symbole parfait de cette ambiguïté souhaitée et souhaitable. Ingénieur militaire qui fabriquait les missiles intercontinentaux les plus perfectionnés à Dniepropetrovsk à l'époque soviétique, l'homme avait tout pour rassurer Moscou, d'autant que son père, officier de l'armée rouge, repose au cimetière des héros de Léningrad depuis 1943. Mais Ukrainien culturel convaincu d'une certaine ouverture à l'Ouest, Koutchma a su oublier ses partisans pour gouverner à la godille en s'opposant sur des sujets soigneusement choisis avec le grand frère russe.


N'étaient sa paresse proverbiale et son analphabétisme économique courant chez les ingénieurs de l'armement, y compris sous d'autres longitudes, Koutchma eût été le président idéal capable tout à la fois de s'entendre avec les néocommunistes polonais et à rassurer Moscou quand les conflits dépassaient légèrement les limites permises. Malheureusement, Koutchma se retire de la vie politique et donne naissance, dans son retrait même, à une polarisation nouvelle et très dangereuse. Car les deux candidats en lice, procèdent tout deux de lui et sont étrangement acceptables pour des électorats distincts de leurs bases initiales. Youchtchenko, le candidat des libéraux occidentalistes, et Ianoukovitch, le candidat des socialistes autoritaires russophiles, ont l'un et l'autre exercé les fonctions de premier ministre ; Youchtchenko n'est ni galicien ni catholique mais c'est un ingénieur de Kiev qui a simplement été converti à l'économie de marché et à la nécessité de réformes aussi radicales qu'en Russie, lorsqu'il exerçait le pouvoir sous les ordres de Koutchma. En somme, les réformateurs économiques ont fait sortir les occidentalistes de leur ghetto de Lvov et ont sans doute gagné sans la fraude l'élection présidentielle.


Mais de l'autre côté, Ianoukovitch, bien qu'originaire de Dniepropetrovsk, tout comme Koutchma... et autrefois Brejnev, n'en est pas moins un Ukrainien authentique qui parle d'autant mieux ukrainien qu'il est soupçonné d'être le pion de Poutine. Après un premier tour serré, Koutchma, Poutine et le KGB local ont jeté tout leur poids dans la balance pour le faire gagner, mais en même temps ce dernier avait rassemblé suffisamment de suffrages au premier tour pour rendre presque crédible une victoire qui n'est pas totalement usurpée.

Bref, nous avons toutes les conditions d'un affrontement, cette fois-ci frontal, entre deux Ukraines, qui pourrait, si l'on n'y prend garde, devenir l'affrontement de la nouvelle Europe élargie et de la nouvelle Russie poutinienne. Point n'est besoin de croire à l'existence d'une nation ukrainienne solidement établie, pour désirer la stabilisation et la démocratisation véritable de l'Etat ukrainien actuel.

Dans une Russie où l'expression d'opinions divergentes de celles du pouvoir central paraît de plus en plus compliquée, le pluralisme, comme à l'époque soviétique, ne s'est-il pas territorialisé ? Le centrisme autoritaire règne à Moscou, le fascisme postcommuniste est roi dans la Biélorussie de Loukachenko, pourquoi la démocratie libérale n'aurait-elle pas sa chance à Kiev et à Odessa ? Ne nous y trompons pas, la stabilité de l'Ukraine qui aura duré une décennie reposait aussi sur l'absence d'une véritable frontière qui eût été intolérable avec la Russie. Mais elle reposait aussi sur une fiction d'indépendance qui n'est pas moins nécessaire. Ce serait une belle tâche pour une Europe moins paralysée que d'aider Poutine, et tous les protagonistes de la crise ukrainienne, à trouver ensemble les voix d'un bon compromis. Malheureusement, l'Europe est ce qu'elle est et les âmes mortes sont nombreuses à Moscou, à Kiev et à Lvov en cette fin d'automne 2004. Si l'inertie suicidaire devait prévaloir alors, n'en doutons pas, la tragédie des Balkans des années 90 n'aurait été que le signal avant-coureur d'un drame bien plus vaste et peut-être même plus sanglant.

Yushchenko's acne points to dioxin poisoning
Federica Castellani
But experts challenge diagnosis that relies on snapshots of politician.

As disputed presidential election results provoke protests in Kiev, a British toxicologist is supporting candidate Viktor Yushchenko's claim that he was poisoned earlier in the campaign.

Yushchenko, the leader of the opposition, was hospitalized with a mystery illness in September and later claimed that he had been poisoned by the government. However, the Austrian doctors who treated him denied having found any evidence of this.

John Henry, a clinical toxicologist at St Mary's Hospital, London, and a consultant for Britain's National Poisons Information Service, points out that current photos of Yushchenko's face show a dramatic transformation compared with a few months ago.

He says that Yushchenko's disfiguring acne is almost certainly 'chloracne', a characteristic symptom of dioxin poisoning.

Dioxin danger

Dioxins are a group of chlorinated organic molecules. They are long-lived and form as a by-product of many industrial processes, such as waste incineration.

Exposure to dioxins is known to increase the risk of cancer and can cause severe reproductive and developmental problems.

The most toxic dioxin is a compound called 2,3,7,8-tetrachlorodibenzo-p-dioxin, or TCDD. In 1976, an industrial explosion in Seveso, Italy, released 20 kilograms of dioxins into the atmosphere, causing the highest known exposure of any population to TCDD.

Skin lesions similar to burns appeared on some children a few hours after the accident. Two months later, chloracne broke out on the people most exposed to the cloud.

Snap judgement

Marcello Lotti, an expert in occupational medicine at the University of Padua, Italy, questions the validity of Henry's conclusion. He argues that it is impossible to make such a diagnosis simply by looking at a photo.

Lotti adds that he would be surprised if anyone were to select dioxin as a poison. "Dioxins have only modest toxicity and you would need an extremely high dose to get chloracne," he says. "Only kilos of contaminated food, administered over several days, would give you chloracne."

Henry admits that he does not have any toxicological evidence to back up his claim. "My diagnosis is from the photo and from the medical report of him being normal two months earlier," he says.

"Very few medical conditions give this type of transformation in such a short time," he points out.

Henry also argues that it would be possible to produce the effect seen in Yushchenko's face from a single high dose of dioxin hidden in food.
http://www.nature.com/news/2004/041122/full/041122-8.html


Aout:


Novembre:

traitement à la cortisone ?

Ole a écrit:

Aout:


Novembre:

:s207:

je dois dire que quand j'ai vu cela ça m'a un peu fait rire quand même


ben ben .. à révolution orange .. agent orange ?

De part sa structure, la dioxine est une molécule très stable (tout comme l'ensemble des PCB). Cela signifie qu'une fois entrée dans l'organisme, elle sera très difficilement détruite.



- effets d'une exposition chronique :
Les dioxines ont des effets cancérigènes reconnus, ainsi que des effets toxiques divers sur la reproduction, l'immunité et le système nerveux.



- effets d'une exposition alimentaire accidentelle à de fortes doses :
La dioxine ne présente pas une importante toxicité aiguë. La consommation une seule fois d'un aliment contenant de fortes concentrations de dioxines ne semble donc pas induire d'effets particuliers.

Des troubles apparaissent si l'intoxication à de fortes doses est plus longue. En 1968 au Japon a eu lieu une intoxication collective, due à une huile contaminée. Les victimes ont présenté une chloracné (acné due au chlore contenu dans la molécule), des signes généraux de fatigue, mal de tête, vertiges, amaigrissement... Les nouveaux-nés des mères exposées avaient des petits poids de naissance. L'ensemble de ces signes a régresse progressivement lorsque l'intoxication a cessé.


sa dioxine c'est le tabac !

oui j'ai ecoute ca a la tele.. sur l'agent orange

sinon pour la cortisone.. euh... je ne sais pas si la cortisone cause de l'acne? je pensais que ca faisait seulement retenir un peu plus d'eau...
Ben l'homme semble vert en plus.. tout pale.. pas un couleur de sante ...

sinon.. vous avez lu ca? la guerrilla colombienne voulait faire peter Bush...


Colombia 'Foiled Attempt On Bush'
By Jeremy McDermott
BBC, Colombia
11-28-4



The largest guerrilla group in Colombia ordered an assassination attempt on US President George W Bush during a recent visit there, a senior official says.

Colombian Defence Minister Jorge Alberto Uribe said Mr Bush was targeted in the city of Cartagena last Monday.

Informers and other intelligence sources revealed the attempt, he said.

The Revolutionary Armed Forces of Colombia (FARC) have long accused the US of meddling in the country's 40-year civil war.

The Farc's seven-man ruling body ordered guerrilla units to make an attempt on Mr Bush's life, Mr Uribe said.

Long list of reasons

The Colombian authorities insisted that the attempt was thwarted by the heavy security net thrown up around the US president which, apart from his own secret service details, included 15,000 members of the Colombian security forces.

The Farc have a long list of reasons for wanting Mr Bush dead, most pressing is the fact that Washington provides over $600m in mainly military aid to Bogota and supplies intelligence from US listening stations, satellites and spy planes that are focused on Colombia.

Another reason is the issue of extradition.

The US has indicted much of the Farc high command on drugs trafficking charges and two senior Farc commanders in prison seem set to sent to face American justice.

The fact that the guerrillas would even consider killing the most powerful and heavily protected man on earth shows that US involvement in Colombia is so deep that the rebels feel they have very little to lose.

© BBC MMIV

http://news.bbc.co.uk/2/hi/americas/4047199.stm

Ole a écrit:

oui j'ai ecoute ca a la tele.. sur l'agent orange

sinon pour la cortisone.. euh... je ne sais pas si la cortisone cause de l'acne? je pensais que ca faisait seulement retenir un peu plus d'eau...
Ben l'homme semble vert en plus.. tout pale.. pas un couleur de sante ...

ah bon on parle d'agent orange ? j'avais entendu parler de ricine moi sinon ...

s'il est devenu bouffi, ça peut être dû à un traitement à la cortisone
mais pas la cause de sa maladie

je sais quelle traite certaine allergies cutanées

c'est peut-être une réaction au stress !

pour le reste, pas encore entendu parler !

Professor John Henry, a toxicologist at St Mary's Hospital in Paddington, London, ignited the debate this week by saying he thought the pro-Western Ukrainian opposition leader had been poisoned with dioxins.

He said the marks on Mr Yushchenko were chloracne, an acute form of acne which can be caused by dioxins.

Professor Henry said the dioxins, which are a by-product of many industrial processes and can increase the risk of cancer and cause infertility, could have been hidden in food or drink.

You would need huge amounts of dioxins to poison someone, I just don't believe it.

British poisons expert

However, others are not so sure.

Nick Edwards, a clinical scientist at Guy's and St Thomas' Hospital in London, said: "Chloracne is a side effect of dioxin exposure but I have not heard of dioxins being used as a malicious chemical agent in this way."

Dr Stephen Mandy, professor of dermatology at the University of Miami in the US, suggested the marks may be rosacea, an inflammatory skin condition which can leave the face swollen and lumpy.

Dr Mandy told the Associated Press news agency: "Rosacea can explode under heavy stress and this looks like he has a typically fulminant case."

A British poisons expert, who did not want to be named because of the controversy surrounding the election, also played down the dioxins poisoning theory.

'Stress'

"You would need huge amounts of dioxins to poison someone, I just don't believe it.

"The marks on his face could have been caused by stress, that is much more likely."

But it seems likely the rumours are going to persist after the medical team which treated Mr Yushchenko at the Rudolfinerhaus Hospital in Vienna were unable to clear up the situation.

Dr Michael Zimpher, president of the hospital, said he still had no idea what had caused the politician's illness and subsequent face markings.

Details of the case have been sent to experts in the US.

Dr Zimpher said: "They are examining blood and other samples. They are still considering the theory of poisoning, but also finding difficulty in proving it."



option stress !

hermione a écrit:

Ole a écrit:

oui j'ai ecoute ca a la tele.. sur l'agent orange

sinon pour la cortisone.. euh... je ne sais pas si la cortisone cause de l'acne? je pensais que ca faisait seulement retenir un peu plus d'eau...
Ben l'homme semble vert en plus.. tout pale.. pas un couleur de sante ...

ah bon on parle d'agent orange ? j'avais entendu parler de ricine moi sinon ...

oui a la tele... euh... j'avoue que je surfais et ecoutais les news de cote.. donc je me souviens d'avoir ecoute les mots pendant qu'ils parlaient de lui... mais attends.. c'etait sur soit LCI ou sur Euronews (il y a quelques jours deja.. a peu pres le jour ou j'ai mis le premier post). Mais bon, on sait jamais peut etre que les infos sont encore sur le site d'euronews?

http://www.euronews.net (il me semble que c'est ca leur url....

nomad_land a écrit:

s'il est devenu bouffi, ça peut être dû à un traitement à la cortisone
mais pas la cause de sa maladie

je sais quelle traite certaine allergies cutanées

c'est peut-être une réaction au stress !

pour le reste, pas encore entendu parler !

"bouffi" (nouvelle mot pour mon vocabulaire ). Ne sachant ce que ca voulait dire j'ai fait une recherche et regarde ce que j'ai trouve..



(j'ai appris bouffi veut dire tout gonfle..?)



Mais... il avait deja une maladie lui au depart? (je peux chercher de l'info sur les effets de la cortisone...) Donc tu veux dire la combo cortisone + stress a donne ca?
C'est tres surprennant la metamorphose qu'il a souffert quand meme... tres impressionant... on dirait qu'il a pris 20 ans minimum en 3 mois!

allumez la tele..
on dirait que qqchose s'est passe encore en ukraine..
revolution ou quoi?

j'essaie de comprendre...

ah ca semble aller pour le moment...

Yushchenko thanks supporters but says fight isn't over

Ukraine's presidential challenger Viktor Yushchenko has appeared before his supporters and thanked them for their continued support. He said, however, that they still had some way to go to achieve victory.

News that outgoing President Kuchma favours holding new elections will please Yushchenko followers but it remains to be seen how pro-Yanukovich supporters will react.

People from both camps continue to flood the streets in their thousands, often mixing together and trading well-worn slogans, but so far things have stayed relatively civil.

Making sure that tension rises no further will be a chief concern for most of those involved in the crisis.

Officials are warning that the dispute is threatening to badly damage the economy and already there has been a run on bank deposits.

There are also fears that a break-up of the country is now a real threat. A pro-Yanukovich region in the largely Russian-speaking east has set a referendum for December 5 on the formation of a republic within a federal Ukrainian state.
http://www.euronews.net/create_html.php?page=detail_info&lng=1&option=1,info

hermione a écrit:

ben ben .. à révolution orange .. agent orange ?

:s186:

moi j'ai entendu parler me semble d'acné adulte, et d'une sorte d'herpès...

...si ça se trouve il a été à gauche

Plot to assassinate
candidate confirmed
Doctors: Ukraine's Yushchenko victim of bio or chemical agent

Posted: December 7, 2004
9:30 p.m. Eastern



Suspicions that Ukrainian political leader Viktor Yushchenko was the victim of an assassination plot have now been confirmed, as doctors in Austria say he was deliberately poisoned during the recent election campaign.

The London Times reports physicians at Vienna's Rudolfinerhaus clinic are within days of identifying the substance that left Yushchenko's face disfigured with cysts and lesions, believing it was either a biological or chemical agent, or possibly a rare poison.

Dr. Nikolai Korpan at the clinic says it's clear the candidate was targeted for assassination in the days before last month's election.

"This is no longer a question for discussion," Korpan told the paper. "We are now sure that we can confirm which substance caused this illness. He received this substance from other people who had a specific aim."

Asked if the goal had been to kill him, Korpan said, "Yes, of course," adding doctors would need to re-examine Yushchenko to confirm the diagnosis.

A spokeswoman for Yushchenko said he did not have any plans to travel to Vienna, but Yushchenko himself recently said he'd reveal proof he was targeted for death by his opponents.

Yushchenko became ill Sept. 6 and was rushed to Rudolfinerhaus four days later with severe abdominal pain and lesions on his face and trunk.

He suffered swelling in his liver, pancreas and intestines, but doctors were not able to diagnose the cause. Against medical advice, Yushchenko returned to his campaign after a week, but back pain prompted him to return to the clinic within two weeks.

Half his face was paralyzed during the campaign, and a catheter was inserted in his back so that doctors could inject painkillers into his spinal column.

Supporters of Yushchenko's rival, Prime Minister Viktor Yanukovych, ridiculed the opposition, claiming the illness was likely the result of bad sushi, too much cognac or a severe case of herpes.

Korpan told the Times that toxicologists and other experts at laboratories in the U.S., Britain and France have now examined Yushchenko's blood samples and medical records.

"We will reveal the results in the near future and confirm the cause of this mysterious illness," he said. "We need to check him again here in Vienna. If we received him today, we could finish the whole investigation in two or three days."

But Korpan declined to be specific on what the precise identity or source of the substance.

"Maybe it was administered through injection, maybe in water, maybe through eating, but the way to give it to him is very simple. This substance can be given very precisely – to only one person," he said.

John Henry, a clinical toxicologist at St. Mary's Hospital in London, told Nature that Yushchenko's disfiguring acne was almost certainly "chloracne," a characteristic symptom of dioxin poisoning.

A presidential run-off between Yushchenko and Yanukovych is slated for Dec. 26, but proof of a poison plot could be devastating to Yanukovych, as questions loom about his possible involvement.

There's also been speculation of involvement by Moscow, which fears Yushchenko might take Ukraine out of its sphere of influence by joining NATO and the European Union.

Dioxine....
je me demande s'il va recouperer son visage d'avant...
les medecins dissent que se recouperer d'un empoissonement de dioxine peut prendre au corps 2 ou 3 ans... mais ils n'ont pas specifie si le visage serait ce qu'il etait avant...

c'est effrayant ce que la dioxine peut faire....

New tests reveal the level of dioxin in the blood of Ukrainian presidential candidate Viktor Yushchenko is more than 6,000 times higher than normal, according to the expert analyzing the samples.

http://story.news.yahoo.com/news?tmpl=story&cid=514&e=4&u=/ap/20041215/ap_on_re_eu/yushchenko_poison_3

Yushchenko 'Given Agent Orange Ingredient'
The Guardian - UK
12-17-4


(Agencies) -- A scientist analysing the compound used to poison Ukrainian opposition leader Viktor Yushchenko have determined that he was given TCDD, an ingredient of Agent Orange.

At the weekend, doctors at an Austrian clinic treating Mr Yushchenko confirmed that the dramatic transformation in his appearance - from healthy-faced to bloated and pockmarked - was due to dioxin poisoning.

Though doctors say they do not know who had poisoned Mr Yushchenko in September, they said the substance had probably been added to his food, and that just a bit more would have killed him.

TCDD is the acronym for tetrachlorodibenzoparadioxin - the most harmful known dioxin. As a component of the herbicide Agent Orange, which the US military used to clear jungle during the Vietnam war, it caused a wide variety of health problems for US veterans and Vietnamese villagers.

Tests on Mr Yushchenko's blood were conducted by Abraham Brouwer, professor of environmental toxicology at the Free University in Amsterdam. He confirmed that the politician's blood contained 100,000 units of dioxin, the second highest concentration ever recorded.

"It is a single chemical, not a mix," Mr Brouwer said. "This tells us ... there is no way it occurred naturally because it is so pure."

Mr Yushchenko, whose party managed to overturn the contested results of last month's presidential election in Ukraine, will stand again for president in a re-run of his contest with the country's Kremlin-backed prime minister, Viktor Yanukovich, on December 26.

He was taken ill following a dinner with the head of Ukraine's state security services.

Guardian Unlimited Guardian Newspapers Limited 2004

http://www.guardian.co.uk/ukraine/story/0,15569,1376188,00.html